AYANAMI Taiyô

Il y a toujours un peu d'espoir qui s'accroche et ne veux pas nous laisser vides.

-Identity card

nom:
Ayanami

prénom:
Taiyô

surnom (facultatif):
Libre à toi de m'en donner un mais c'est à tes risques et perils.

age:
17 ans

sexe:
Masculin (vous hesitiez?)

-Qui est-il/elle?

description physique:
Si je devais me décrire à quelqu'un qui ne puisse me voir je lui dirais tout d'abord que je suis de taillep resque moyenne car je me trouve un peu trop petit, je lui dirais en suite que je suis de corpulance moyenne, ni trop enrobé ni trop maigre, je le teint clair, pas trop pâle mais pas mate pour autant. Je dirais en suite que mes cheveux sont courts, retombant legèrement sur mes yeux mais sans m'empêcher de voir, de couleur brun foncé voir même chocolat, en suite viendra ce qui me différencie le plus des autres jeunes hommes de mon âge aux cheveux bruns: mes yeux! Mon oeil droit est d'un vert pomme energique qui ressort bien sur mon teint, quant à mon, oeil gauche c'est la source de mes problèmes: il est jaune presque fluorescent, semblable à l'oeil d'un chat mais il n'a pas toujours ue cette couleur, quand j'était petit garçon il a longuement été vert et je ne m'en portais pas plus mal, il est jaune depuis que c'est moi le porteur de la malediction de l'oeil de Raphael, malediction que j'ai arraché à ma jeune soeur.

description caractèrielle:
Pour décrire mon caractère, je ne sais pas vraiment quelle manière utiliser, je ne sais pas si je dois être bon ou mauvais envers moi même après certains de mes actes; rester neutre est souvent très difficile, alors que dois-je faire exactement? Un récit péjoratif ou plutôt un récit mélioratif? N'y a t'il personne d'autre que moi pour me décrire ou les ai-je tous abandonnés? Ainsi je dois le faire moi même... Bon alors je me lance: Je suis quelqu'un de peu énergique et j'ai plutôt l'habitude de vivre dans une totale attitude de jeune homme nostalgique, c'est ce que je suis car j'ai tout perdu. On m'a souvent décrit comme un rêveur qui veut revenir en arrière après ces actes irréparables. C'est vrai que je suis du genre à regarder derrière moi et à ne plus pouvoir se retourner. Il est chaque matin plus difficile de se réveiller après avoir rêvé du crépuscule à l'aube d'un monde où nos actes ne seraient que cauchemard loin derrière nous. Je n'arrive pas à me dire que je vais bien. Ce pendant je garde la forme en espérant qu'un jour j'y arriverai! Il y a toujours un peu d'espoir qui s'accroche et ne veux pas nous laisser vides. Sinon je suis quelqu'un d'assez amical même si j'ai souvent peur de faire du mal à ceux qui acceptent de s'approcher de moi. Je ne suis pas un grand paresseux et je ne tiens pas en place plusieurs heures pour rien, si c'est nécessaire je peux rester assis sans bouger et sans faire le moindre bruit pendant des jours mais sinon pourquoi gâcher mon précieux temps. Je suis assez gourmand, je dois l'avouer mais je peux me priver de manger facilement. Je ne suis pas un grand dragueur, je trouve que cela importune plus les jeunes filles que cela ne leur plait.

pouvoirs:
Je maîtrise la foudre, quant aux pouvoirs que me confèrent ma malédiction, ils sont du même type: si ma collère est trop intense, mon oeil émet une étrange lumière, le sol se creuse de failles de sortent des éclairs.

armes favorites:
Je n'ai pas vraiment d'arme favorite car je suis assez agile pour ne pas en avoir besoin et que je sais en prime me servir d'un peu tout, je déteste les armes à feux. Il y a peu être tout de même une arme qui m'aie chère: il s'agit d'un Tantô que m'a offert ma soeur à mon anniversaire, le jour qui précéda sa mort, de mes mains et avec ce Tantô.

-Raconte nous sa vie.

Histoire:
Tout à commencé dans la famille Ayanami, 17 ans avant aujourd'hui, le 27 novembre avec la naissance d'un enfant, un petit garçon aux cheveux bruns et aux magnifiques yeux verts, c'est ainsi que l'on qualifia l'enfant, ses parents l’observèrent longtemps puis lui donnèrent le nom de Taiyô parce que Taiyô signifie soleil et que cet enfant était un peu comme leur soleil à eux, chaud et lumineux, apportant le bonheur de par ses rayons, et Taiyô Ayanami c'était moi! Dans mon berceau je semblait être un enfant complètement innocent et inoffensif et nul n'aurait pu ce douter à cette date là de ce que j’allais faire, nul ne se doutait de rien et tout allait bien dans le petit village que nous habitions, je grandis à la vitesse normale à laquelle grandissent les enfants normaux que l'on aime et j'appris vite, à compter à écrire mon prénom, l'école n'était vraiment qu'une formalité pour moi, très facile à suivre et je n'avais pas besoin de trop me concentrer. D'aussi loin que je me souvienne, mon père s'était toujours pris pour un samouraï alors qu'il n'en avait vraiment rien, ma mère aimait cela, c'était son samouraï à elle, et comme cela lui plaisait j'avais décidé de faire de même et du jour au lendemain, j'ai demandé à mon père de m'apprendre à magner les armes qu'il magnait lui, chaque arme qu'il récupérait dans une broquante, une vente aux enchères, sur le net ou dans la famille car tout les Ayanami étaient fous de cette époque, il m'apprenait à m'en servir; j'appris facilement ses techniques secrètes; katana, kunai, tantô, shuriken, j'avais le droit de toucher à tout et j'adorait ça!
Quand j'ue 7 ans, ma mère me confia que j'allais être grand frère, j'allais avoir une petite soeur ou un petit frère! Cela m'enchanta, évidement!! Quand elle naquît enfin alors que papa, maman et moi l'ayons attendu avec impatience, cinq moi après que ma mère me l'aie annoncé. Elle était vraiment très mignonne lorsque je j'ai vu pour la première fois, ses cheveux étaient blonds et ses yeux étaient d'un bleu qui donne envie de plonger dedans, turquoise. Maman et Papa lui cherchèrent un prénom et je proposa Madoka car je trouvait que cela sonnait bien que la soeur de ma nounou s’appelait Madoka, elle me l'avait dit la veille. Elle grandit tout aussi vite que moi, commença elle aussi à s’intéresser à nos entrainement à moi et à papa. Maman lui apprenait ce que j'appelais des trucs de fillettes: le tricot, la couture, Madoka semblait adorer cela, créer des robes de dentelles roses pour ses poupées lui plaisait énormément.
Madoka avait toujours ue ce que Maman appelait le "sens du cadeau". Depuis qu'elle était assez grande pour retenir la date de mon anniversaire, elle m'avait toujours fait de beaux cadeaux. A mes 11 ans elle m'avait tricoté une écharpe bleue, pleine de trous mais elle l'avait fait avec son coeur et cela avait suffit à me rendre terriblement heureux. C'était l'intention qui compte et je l'avais porté tout l'hiver pendant deux années consécutives. Ce pendant le plus beau cadeau que Madoka m'aie fait fut celui qu'elle m'e offert à mes 13 ans. Pour mes 13 ans Madoka m'avait offert un magnifique Tantô, j'avais toujours adoré celui de Papa et celui-ci était encore plus beau, je me souviens que c'était 3 mois après a mort de mon père qui nous avait tant remué. Ce Tantô, je ne pouvais plus m'en séparer, j'avais passé la journée avec. Tellement heureux de l'avoir, je m'endors avec.
Au milieu de la nuit je suis réveillée par un bruit dans la chambre de Madoka. Je me lève et je vas voir, toujours accompagné de mon Tantô, je la vois sortir par la fenêtre, elle se tourne vers moi et me lance un sourire de requin sadique, ce n'est pas ma Madoka! Ma petite soeur! Son oeil gauche est devenu jaune. Pourquoi cette couleur? Je sors moi aussi, déjà habillé, car je me suis endormi comme ça, vêtu de ma chemise blanche et de mon pantalon noir, j’enfile les chaussures, sort par la porte et part à sa poursuite. Malheureusement je la perd de vue. Il doit être une heure du matin, ma mère me raconte l'histoire de Madoka:
<< Le jour de la naissance de ta soeur, l'on découvre qu'elle est morte, ta soeur est un bébé mort-né, ce jour là moi et ton père avons beaucoup pleuré, toi et ta nourrice n'avez pas été mis au courant pour la bonne et simple raison qu'il est arrivé une chose étrange, un homme est entré dans ma chambre d’hôpital et a déclaré pouvoir ramener ma petite fille à la vie, il n'a pas donné son nom mais a dit que si elle était compatible avec l'oeil de Raphael elle pourrait vivre, mais c'était une malédiction qui avait un coût et le jour où elle se révélera, elle changera totalement et il se pourrait qu'elle nous abandonne, je savais qu'elle partirait un jour, ton père ne sait rien, nous ne pouvons la ramener malheureusement... >>
Je pleures, la preuve que les garçons peuvent pleurer. Puis je cours, je sais que je vais retrouver Madoka! Armé de mon Tantô ayant mit l’écharpe que Madoka m'avait offert, je cours vers le lac, je savais que Madoka serait là, elle me regarde, fixe mon Tantô puis mon écharpe, puis elle m'attaque, je sort mon Tantô de son fourreau, esquive son attaque, elle saisit un bâton et cours vers moi, je découpe le bâton avec mon Tantô, j'ai toujours été plus doué que ma soeur pour le combat. Soudain, elle hurle, le sol tremble, ses cheveux s'envolent, le vent devient tellement fort, je fais comme si j'avais 10 kilos de plus pour ne pas m'envoler. Elle continue de m'attaquer, je l'envoie valdinguer dans le lac en esquivant une attaque, c'est seulement là que je me souviens qu'elle ne sait pas nager, elle m'appelle, pour me tromper, certainement, je plonge pour la sauver mais je temps que j'arrive jusqu'à elle et que je la ramène sur la côte, elle ne respire plus, je pleures encore, une goutte de sang coulant d'une de mes blessures retomba sur son corps inanimé, un homme sorti de nul part, air menaçant, cheveux blancs, yeux violets, vêtu d'un costume milliaire noir et or, lançant un regard froid vers moi, soudain je me sentis faiblir, m’évanouir, j'ai même l'impression de mourir. Je sens tout de même qu'il m'emmène, quand je me réveille, je regarde partout, je me trouve face à un grand miroir, j'y vois mon reflet mais ce n'est pas moi! Ou alors... Mon oeil gauche est jaune! Je suis maudit?
Oui je suis maudit, je veux m'enfuir d'ici! Je ne sais pas quoi faire! Pas la moindre sortie! Pas le moindre endroit où aller, c'est le même homme en noir qui me conduit dans un cellule, le gardien ne m'a pas 'air d'être idiot, il ne veut pas que je dises un mot, il veux que je me taise et c'est tout! Mes bras sont enchaînés l'un à l'autre, mon Tantô! Il n'est plus là!! Le garde l'agite sous mon nez comme un gros pervers, il a une allure de pédophile! Il avoue qu'il aurait préféré que ce soit ma soeur qui soit là à ma place, que leur chef aurait dû être plus rapide et qu'il aurait prit plus de plaisir avec une fille! Je passe mon point au travers des barreau et lui envoie dans la figure, il rit, et sadomasochiste en plus! Ils m'en on collé un sacrement marrant!! Je ne peux rien y faire avec ce gardien idiot!!!
Le temps a passé, cela fait maintenant 2 ans que je suis enfermé là et toujours le même garde, doublé par un second la nuit qui est exactement du même type. Aujourd'hui c'est le jour de m'on anniversaire! J'entend des cris dans le couloir, une voix de jeune fille. Une fille se dirige vers ma cellule, ses cheveux sont longs et roses, ses yeux sont violets. Le garde ouvre la cellule et la force à entrer, elle porte une longue cape noire. Le garde lui ordonne de l'enlever, elle est nue en dessous! Le gardien me regarde et me dit de me dépêcher, je ne vois pas de quoi il parle mais le deuxième m'explique, cette fille serait un cadeau d'anniversaire, ils disent qu'ils veulent que je prenne sa virginité, sinon ils nous tuerons tout les deux après avoir joués avec elle. Elle pleure et je suis obligé de le faire, la fille va ensuite rester dans ma cellule, en tant que colocataire, ce n'était pas un cadeau d'anniversaire mais elle m'assure qu'elle était bien vierge, les gardiens disent qu'ils ont fait d'une pierre deux coups mais je n’apprécie pas du tout. La jolie fille s'appelle Razette, c'est une sirène du lac, j'ai regardé et il se trouve qu'il y a beaucoup de sirènes avec les jeunes hommes dans les autres cellules. Les deux gardes abusent de Razette plusieurs fois par jours ou alors ils me forcent à le faire, je ne veux pas qu'ils la tuent alors j'obéit.
Un jour les gardes décident d'électriser les barreaux, cela leur laissera la nuit pour dormir ou abuser d’autres sirènes car Razette n'est pas assez sensuelle à leur gout, moi j'étais toujours obligé de les regarder, enchaîné comme un chien. Ils électrisent les barreaux? Cela me donne une idée. Le soir de mes 17 ans, j’attrape les barreaux de la cage, Razette me répète que je vais souffrir mais non. Quand les gardes reviennent au petit matin, ils s'approchent de Razette, elle chante de sa somptueuse voix:
<< Lacrimosa dies illa, Qua resurget ex favilla Judicandus homo reus: Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Domine Judicandus homo reus: Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Domine. (Voir: Lala's song (D-gray man)) >>
Moi j'en profite, je poste ma main dans le dos de chacun des deux hommes puis j’entraîne Razette vers moi, les deux hommes sont électrocutés par l’énergie que j'ai stocké pendant la nuit, je les frappe, récupéré mon Tantô et les bat à mort comme je ne l'aurai jamais fait avant. Moi et Razette nous échappons, puis je ne la revis plus jamais. J'ai lu beaucoup de livre après cela, et l'un deux parlais d'un monde appelé BakalanD, ce monde m'attire parce qu'il y aurait là-bas un objet qui anéantirait l'oeil de Raphael, les stèles des contrées me permettraient de détruire l'oeil de Raphael. Ce me donne tellement envie! J'ai envie de me lancer dans cette quête, je quitte la terre et je vais là-bas, sûrement je ne reverrait jamais Razette mais son chant restera gravé dans ma mémoire...


Lacrimosa dies illa, Qua resurget ex favilla Judicandus homo reus: Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Domine Judicandus homo reus: Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Domine.

rêve:
Détruire l'oeil de Raphael.

projet de vie:
Je ne suis même pas sur de survivre...


Et toi?

que penses tu du forum?:
c'est une reussite, design attirant et pas trop sombre, contexte amusant, originalité.

code du reglement:
baka power

étais-tu de l'ancienne version?:
Non et je le regrette.
autre chose: